"Ne négligez rien de tout ce qui peut contribuer au bon ordre, à la santé, à la sûreté de vos gens tant qu'ils seront sous votre conduite; ayez grand soin que les armes de vos soldats soient toujours en bon état.."
Sun Tzu, l’art de la guerre article sept, De l'affrontement direct et indirect.
Marie
Marie jouait avec ses cheveux bleus. Elle cherchait ses mots. Devant elle, sa fille
Céline admirait le plafond du bar, en vieux crépis pourris croisée de poutre de renfort.- Tu as soif ma chéri ?
La gamine ne l’écoutait pas, elle regardait la dame et son journal devant son petit ordinateur.
Marie laissait la petite découvrir les lieux. Elle sourit puis pensa à Tom, qui n’allait pas tarder...comment lui avouer?
Elle s’installa au fond de sa chaise et un instant de terreur l’envahit. Elle reconnu quelqu'un quelle n'aurais jamais voulu revoir….Devant elle assise à une table en train de regarder ses mains,
madame Rose.....Elle ne semblait pas l’avoir remarqué.
Marie se cacha sommairement le visage et préféra baisser la tête pour ne pas trop se faire remarquer.
Elle attendit comme cela, prostré dans l'anonymat, dans la trouille de se faire repérer par la vieille dame, la vieille faiseuse d'ange.
Tom mettait du temps. Elle était maintenant impatiente que son marie viennent.
Elle avait peur que la vieille infirmière ne la remarque, et voit en elle. Elle avait peur qu'elle se rappelle de cette échec.
A cette époque, elle était jeune, très jeune, adolescente , perdu, en crise pleine de vie poursuivit et rechercher par la police elle avait eut une liaison, et malencontreusement elle eut un enfant, elle n'avait pas prévu ce genre de situation. Prise de panique et pour en pas se faire repérer par la police elle avait sollicité l'aide d'un ami qui connaissait une infirmière au pouvoir étrange d'après lui, elle pouvait lire dans l'âme des gens et les aider à comprendre, ce jour là, elle rencontra Rose, madame rose qui après une bref diagnostique alla chercher des épingle à tricoter pour commencer son travail.
Maire, s'allongea sur la table d'une cuisine transformé en bloc opératoire, et nue, apeuré écarta ses jambes.
Madame rose alors commença doucement à enfoncer les aiguille. Elle avait longuement préparé Marie , lui avait bien dit que cette opération était dangereuse, qu'elle devrait aller à l'Hospital, cela serait mieux pour tous…..
Mais marie refusait, elle était rechercher pour terrorisme, un crime grave, elle préférais avorter.
Elles avait auparavant longuement discuter, madame rose a chaque fois avait visé juste avait trouvé le bon mots et avait comme par enchantement deviner les problème de marie, elle accepta de 'l'aider
Les aiguilles glissaient lentement, puis le pire arriva, marie fut prise de convulsions du au stresse, ,Madame rose ne pu rien faire, marie blessé ne pu se contenir, elle se mit à vomir .
Madame Rose embarrassée alors recula et refusa de continuer, c 'était cela ou la mort.
Huit mois plus tard naissait Céline.
Mais que fait cette vieille folle ici ?
Trop de souvenirs, de souffrances lui revienne, elle ne préfère pas y penser.
Trop de bêtises, sa vie est remplit de bêtises....
Elle serait dans le même état aujourd'hui elle déciderait aussi d'avorter, pour éviter à sa fille de vivre cette vie de précarité, avec un travail plus ou moins légal, une vie plus ou moins heureuse et des problèmes juste pour aller acheter une baguette.
Marie chercher ses mots ce n’est pas facile, elle repense au bon souvenir, à ces quelques mois de plaisirs, qu’elle vient de passer, mais maintenant c’est finit, elle va devoir de plier bagage, la justice l’a encore rattrapé et il va falloir s’expliquer dehors des forces de la BCI l’attendent, elle doit être ramené en haute sécurité d’ici à ce soir.
Elle devra alors s’expliquer à Tom qu’elle a fait une grosse bêtise, un très grosse bêtise.
Elle cherchait ses mots puis elle vit Céline partir vers la dame à l’ordinateur.
- Céline !
La cloche de la porte résonna. Des clients entraient dans le bar.
Marie sursauta. Son cœur tressaute, elle a peur, elle attend. Une femme pressée passe le nez en vitesse dans l'arrière salle ou elle se trouve. Elle cherche quelqu'un mais visiblement il ou elle n'est pas là, elle repart en direction du bar.
Puis un homme apparaît : Tom.
Il s’approche , la grande perche comme elle aime l’appeler et se moquer de lui se plie. Marie se lève pour appeler Céline, lui dire que Tom est là, qu'il faut qu'elle revienne. Marie se sent seul sans un bouclier pour la protéger. Mais Céline est omnubilée par la femme qui travail à l’ordinateur.
- Bonjour Marie.
Marie élève les yeux comme la fois étonné et effrayé.
Tom se courbe pour l’embrasser, elle refuse, elle lui montre le chaise, il se plie en deux et s’effondre.
- Tom...
- J’ai reçu ton courrier ce matin, je suis triste….pourquoi ?
Tom n'aimait pas perdre son temps, c'est d'ailleurs cela qui plaisait à Marie, il allait droit au but.
Marie s’enferme dans un silence, elle a honte, mais elle doit le faire
- Je te quittes tom , et je te laisse Céline.
Marie avait préparé des quantité de phrases dans sa tête mais seule celui-là lui venait, direct et ferme.
Tom la regarde un instant, lui qui l'avait et l’aime toujours. Il est malade,, pâle et surtout impuissant face à cette décision. Il a toujours trouver Marie étrange froide, durant toute leur période fleur bleus, fleurte elle avait refusé ses avances, il avait découvert un enfant : Céline. Par la suite tout fut merveilleux, sauf les activités illégal de Marie, dit Scanner, Hakers, pirate informatique…..
- Il t’ont eut fit il en comprenant la situation.
Marie retrouva l’intuition de son Marie. Il lisait toujours en elle comme dans un livre. Elle regarda un instant madame Rose, et si elle n'avait pas échoué, elle n'en serait pas là, elle aurait quitté Tom s'en rien dire, en fuyant, comme une voleuse qu'elle était.
- Ils sont dehors Tom, et ils vont me récupérer dans une demi heure.
- Qu'as tu fait marie ?
Marie alors reste silencieuse. Elle s’était promis de ne rien lui dire.
Pour changer de sujet, faire diversion elle voit Céline qui commence à importuner la dame à l’ordinateur. Elle se lève et se dirige vers la chaise en essayant de ne pas déranger le couple près d’eux qui parle à voix basse.
- Elle vous ennuies ? fit elle en prenant Céline par les épaules.
La fillette se figea comme apeuré.
La femme fit non du visage.
Marie sentait en cette femme, une personne étrange, perdu, un peu paumé, comme elle en ce moment. Elle lui sourie et la remercia pour retrouver tom;
Tom l’attendait enfermé dans son silence, amer.
- Qu’as tu fait marie ?
Marie ne pouvait rien cacher à tom
- J’ai faillit réussir tom
- Et comment fit il étonné
- Toute l’économie et le système bancaire est relié par une infrastructure numérique bloqué dans le net, comme les neurones et le cerveau.....
Marie excité essayait dans un sursaut de données et d’explication brouillons de donner un plan large de ce quelle avait fait
- Vous avez réussi à créer un intelligence artificielle, tu as réussit !fit tom étonné.
Tom et Marie sont dans leur monde, il parle comme dans une bulle, isoler du reste du bar et de l'univers.
Tom comme Marie était informaticien, spécialisé dans le génie et l'intelligence artificielle, il exploitait, certaines des idées de Marie sur la violation des codes bancaires et des bases de données économique car un vecteur chance de ses recherches.
Il la regarda un moment, il cherchait comment, un bout de femme comme elle avait réussit l'impossible.
- Pourquoi à tu échoué ?
- Il me manquait l'histoire.
Tom sourcilla, il ne comprenait pas.
- Il pense comme un être humain Tom mais pour cela il faut lui donner une base de données pour comprendre l'humain ou un fait humain, un émulateur qui lui permettra d'inducteur sa capacité de calcul ailleurs…..
- Le rendre curieux pour réfléchir, c'est cela . fit-il en comprenant.
Marie compris alors que Tom était sur la même longueur d'onde.
- Et ?
- Il m’ont rattrapé, ils nous surveillait, depuis longtemps, mais nous savons que le réseau est né de l’information et le besoin de communiquer, comme le langage, comme la pensées, comme le mode de pensées de l’intelligence propre à l’homme, le java est un langage électronique qui peut faire naître la pensées et nous avons découvert quelques axiomes de communication qui pourrait créer un centre nerveux, un réseau intelligent autonome?
Tom était effondré il venait de comprendre, que Marie allait continuer, si la BCI, la brigade du crime informatique était dehors, ce n'était pas pour l'envoyer en prison, mais tout simplement pour la faire travailler dans l'un de ses laboratoires secrets.
- Marie tu as pensé à nous ? tu y as pensées ?
- Oui tom, tu vois....
Marie montre une valise d'enfant qui traîne par terre.
Tom l’a regarde avec revanche.
- Je sais de quoi tu as besoin Marie, mais tu ne peux pas revenir en arrière?
Marie se tait.
- Mais tu as encore besoin de moi
- Il m’ont proposé une remise peine et l’immunité si je travaille avec eux.
- Tu ne peut pas te cacher derrière ton icône de scanner, marie, tu es un pirate informatique tu avait des connaissances et des façon plus légal de mettre tes connaissance au service…
- De multinationales, de la biotechnologie Tom ! Comme toi ! fit elle, jamais !
Tom se tu, Marie regarde Céline. Tom sourie.
- Je sais que tu ne l’as jamais voulu, que c’est à cause de moi, je voulais te garder près de moi Marie et je t'ai forcé.
- Tu vas dorénavant pouvoir t’occuper d’elle
- Mais je te perds toi.
Marie ne lui répondis pas, c’était déjà dur pour elle
- Tu ne sais que détruire marie, fit tom à voix basse.
Bruit de vaisselle qui tombe et qui s’écrase au sol.
Marie ne regarde pas, elle préfère éviter d'affronter les yeux de Tom si elle doit lever son visage.
Pourtant cela se passe devant elle, elle devine au bruit, et imagine.
Elle regarde Tom, elle a oublié Céline qui se dirige vers l’autre salle, attiré par le bruit de vaisselle, à la recherche d’une autre réalité que ces parents qui se disputent.
- Je vais devenir une forme de flic Tom, il ont besoin de mes talents pour protéger le net.
- Tu vas devenir somme ton père marie, regarde ce qu’il a fait de toi, une femme perdu au cheveux bleus, comme il a détruit sa gamine et qui a su déchirer son couple, il a renier ton amour et alors tu as tuer ta mère. T’en rend tu compte ?
Marie voyait son amant remuer en elle de mauvais souvenir, d'un père flic alcoolique qui avait tendance quand sa famille l'énervait de sortir le flingue de service et de le braquer sur tout ce qui bouge. Un type bourré au Ricard qui par malaise montra a sa fille comment tuer maman quand elle t'ennuis. ce jour là maman l'avait fâché, marie à pris le flingue qui traînait sur la commode et a tiré, papa qui était au bar, arriva plus tard, maman était déjà dans un sac noir.
-Tais toi docteur Tom, je n'ai pas besoin du psy en intelligence virtuelle, c'est les machines que tu tentes de rendre aussi intelligente, frustrée, ou folle que l'homme pas moi !
Un temps
- Et comment va tu faire pour créer à cette intelligence le monde, l'émotion majeure qui va le rendre curieux donc intelligent.
Marie ne voulu répondre.
- Je ne sais pas.
- Essaye la solitude, tu connais bien, la solitude !
Tom a soif, il v eut boire, il cherche la serveuse. Marie est vide, elle cherche le silence.
- Tu as raison marie, tu n’as pas besoin d’un docteur pour t’aider, mais de te retrouver. Je vais chercher Céline et l’emmener puisse que c’est ta décision.
Marie alors relève la tête et vit Céline devant
un homme, un type q’un quarantaine d’années, qui parlait avec une autre femme devant lui. Puis e fut comme une apparition, deux femmes, la première l'arracha de la table, et la renversa au sol tout en projettent l'homme au sol, un deuxième femme, celle du bar alors atterrit sur son dos et lui planta une seringue dans le dos, tout cela dans l'affolement général, en un instant.Marie ne compris rien, elle eut juste le temps de crier, et puis vit Céline apeuré près de l'homme.
Son téléphone portable sonna. Marie par réflexe décrocha.
Pendant ce temps des hommes en blancs entrèrent dans le bar, des policiers suivirent, la vielle
madame Rose se leva et rejoignit une des deux femmes.Marie entendit un drôle de message enregistré
- Comme vous le remarquer je viens de me faire arrêter, vous trouverez dans la poche de votre fille, 15 textes que vous pourrez charger sur le net, il en va de la survit de mon combat, la femme assise avec l'homme, c'est une artiste, un sculpteur virtuel, aller la voir, elle va créer cette scène en animation virtuelle que vous venez de voir toutes les treize, elle l'appelleras "Phallocratie", toutes les deux et à l'aide des textes et des dossiers que vous trouverez, grâce à mon médecin et à une jeune artiste vous pourrez alimenter, l'intelligence artificielle que vous voulez créer. merci "
Marie était comme cloué par se message qui sonnait si juste et cette homme, cette voix qui sous ces yeux maintenant dormait, que l'on transportait sur un brancard menotté. Comment est-ce possible ?
Elle devait en avoir le cœur net.
Marie se leva et alla chercher sa fille, pour l’embrasser, la serrer dans ses bras et trouva dans sa poche une enveloppe avec une disquette à l’intérieur.